Réunion de haut niveau clôturant ainsi l’atelier régional de renforcement des capacités axé sur l'amélioration de la collecte des données relatives aux crimes dans le secteur de la pêche.

Le 28 novembre 2024, au siège de la CSRP à Dakar, s’est tenue une
Le 28 novembre 2024, au siège de la CSRP à Dakar, s’est tenue une réunion de haut niveau clôturant ainsi l’atelier régional de renforcement des capacités axé sur l'amélioration de la collecte des données relatives aux crimes dans le secteur de la pêche.
L’atelier a pour but d’améliorer la collecte et le rapport des données, d’élargir le champ de surveillance des crimes, d’améliorer la collaboration entre parties prenantes, d’élaborer un plan d’action stratégique et de sensibiliser de manière accrue le renforcement des capacités les acteurs de la pêche dans la sous-région.
Plusieurs autorités ont pris part à cette réunion, dont le Représentant de la ministre des pêches et des infrastructures maritimes et portuaires du Sénégal, M. Mamadou Goudiaby, le représentant du bureau régional de l’ONUDC pour l’Afrique de l’ouest et du Centre, Dr Amado Phillipe De Andréz, du Secrétariat Permanent de la CSRP, Dr Khallahi Brahim, les représentants des Ambassades, de France, de la Norvège, du Japon et du monsieur le Maire de la Commune de Dieupeul Derklé (Commune abritant le siège de la CSRP).
Le secteur de la pêche sert également de vecteur important pour la criminalité, exposant la région à une vaste diversité d'activités criminelles. Celles-ci incluent des infractions directement liées aux opérations du secteur, telles que les pratiques de pêche illégales qui enfreignent les lois nationales et régionales. De plus, des crimes de détournement au sein de la chaîne de valeur, notamment la corruption, le blanchiment d'argent, ainsi que des fraudes documentaires, fiscales et douanières, y sont également associés. Au-delà de ces infractions, le secteur agit comme un facilitateur pour des activités criminelles graves telles que le trafic de drogue et d'armes, la traite des personnes (TIP) et le trafic de migrants (SOM), souvent réalisés via des navires de pêche et fréquemment liés à des réseaux de crime organisé. Ces crimes compromettent non seulement la stabilité et le développement de la région, mais aggravent également les tensions, car la concurrence pour les ressources halieutiques entraîne souvent des violences entre communautés et des conflits avec les forces de l'ordre.
C’est pourquoi les autorités ont appelé à une collaboration entre les décideurs, les ORGP, les partenaires et les communautés pour élaborer des réponses efficaces et durables, fondées sur l’utilisation des données.
L’atelier a pour but d’améliorer la collecte et le rapport des données, d’élargir le champ de surveillance des crimes, d’améliorer la collaboration entre parties prenantes, d’élaborer un plan d’action stratégique et de sensibiliser de manière accrue le renforcement des capacités les acteurs de la pêche dans la sous-région.
Plusieurs autorités ont pris part à cette réunion, dont le Représentant de la ministre des pêches et des infrastructures maritimes et portuaires du Sénégal, M. Mamadou Goudiaby, le représentant du bureau régional de l’ONUDC pour l’Afrique de l’ouest et du Centre, Dr Amado Phillipe De Andréz, du Secrétariat Permanent de la CSRP, Dr Khallahi Brahim, les représentants des Ambassades, de France, de la Norvège, du Japon et du monsieur le Maire de la Commune de Dieupeul Derklé (Commune abritant le siège de la CSRP).
Le secteur de la pêche sert également de vecteur important pour la criminalité, exposant la région à une vaste diversité d'activités criminelles. Celles-ci incluent des infractions directement liées aux opérations du secteur, telles que les pratiques de pêche illégales qui enfreignent les lois nationales et régionales. De plus, des crimes de détournement au sein de la chaîne de valeur, notamment la corruption, le blanchiment d'argent, ainsi que des fraudes documentaires, fiscales et douanières, y sont également associés. Au-delà de ces infractions, le secteur agit comme un facilitateur pour des activités criminelles graves telles que le trafic de drogue et d'armes, la traite des personnes (TIP) et le trafic de migrants (SOM), souvent réalisés via des navires de pêche et fréquemment liés à des réseaux de crime organisé. Ces crimes compromettent non seulement la stabilité et le développement de la région, mais aggravent également les tensions, car la concurrence pour les ressources halieutiques entraîne souvent des violences entre communautés et des conflits avec les forces de l'ordre.
C’est pourquoi les autorités ont appelé à une collaboration entre les décideurs, les ORGP, les partenaires et les communautés pour élaborer des réponses efficaces et durables, fondées sur l’utilisation des données.